« Pics de pollution: rouler au GPL, une vraie solution »

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À l’heure où pics de pollution et circulation alternée se succèdent, l’intérêt pour le carburant alternatif qu’est le GPL va croissant. C’est ce que souligne Xavier Schmitt, journaliste à France 3 Alpes le 21 décembre 2016 :

« La demande est en forte hausse pour les équipements GPL […], plus 40% ces dernières semaines, une réaction aux pics de pollution de l’air. Ce mélange de propane et de butane génère très peu d’oxyde d’azotes et de particules fine, et son prix est imbattable ».

 

En effet, n’émettant pas de particules, moins de Nox et moins de CO2 que l’essence, les véhicules GPL sont classés Crit’Air 1 au même titre que les véhicules hybrides. Positionnés parmi les moins polluants, ils ne font donc pas l’objet de restrictions de circulation : ils peuvent rouler en toute circonstance, quelle que soit leur date d’immatriculation.

Outre ses atouts écologique et pratique, le GPL offre un atout économique qui suscite également l’intérêt des automobilistes. C’est le cas de Paul, un automobiliste GPL interviewé par France 3 Alpes, qui expose « l’intérêt de circuler en ville, d’une part, sans difficulté dans une période de pollution » à un moindre coût. « Le litre de GPL est actuellement aux alentours de 60 et 70 centimes, ce qui n’est pas négligeable ».

Hervé Borel, directeur et fondateur de la société Borel, rappelle qu’il est possible de faire équiper au GPL presque tous les véhicules essence neufs ou d’occasion. L’installation d’un kit GPL en deuxième carburation doit se faire chez un installateur agréé, dont vous avez la liste ici.

 

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Retrouvez le reportage de France 3 Alpes !